L'essor
1990-1995
On perfectionne notre technique du théâtre au noir – certains nous reprochent de faire de la «marionnette conventionnelle» parce que nous la mettons trop en avant, et d’autres nous en félicitent –, on amplifie nos tournées en France et à l’étranger (Asie, Amérique du Sud, Québec, Irlande, Maroc, Palestine…).
On va chercher dans le grand répertoire, du côté de Carlo Gozzi et de William Shakespeare.
On continue à privilégier aussi bien le divertissement (L’amour des trois oranges, La mer à boire) que nos coups de coeur ou nos rages (Humanitou, La cour de tous les miracles).
On se tisse un réseau de fidèles compagnons de route, diffuseurs qui nous soutiennent, institutions qui nous écoutent, collaborateurs qui nous apportent leur talent.
On peut enfin engager un administrateur, qui nous soulage de tout un pan essentiel de notre travail… Les soucis sont toujours là, parce qu’inévitables, mais aussi les gratifications, et toujours le plaisir de la réalisation et de la recherche.
A chaque image, son spectacle...



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